bienvenue

Retrouvez ici, les dernières actualités des artistes de la galerie caroline vachet.


NORA BOUDJEMAÏ

Née à Lyon en 1978, vit et travaille à Lyon, France.

Nora Boudjemaï, exprime avec énergie sa propre vision de l’instant présent, ses déchirements, ses revers, ses silences à travers ces personnages isolés, stigmatisés ou en rupture.

Actualités 


Du 13 au 18 septembre 2011

DOCKS ART FAIR - foire internationale d'art contemporain à Lyon


Sans titre - 2011
Technique mixte sur papier 250g 100 x 70 cm

C'est en Septembre 2011 que la troisième édition de DocksArtFair™ aura lieu, réunissant 40 galeries internationales pour une foire d'art contemporain qui s'est construite autour d'un ensemble de principes uniques. Unique, parce qu'il donne au public l'occasion de découvrir les travaux en cours de création présentés par les galeries sélectionnées et s’informer sur ceux-ci, à travers la présentation d'une exposition monographique par stand. Unique, parce DocksArtFair™ est attachée à la Biennale d'Art Contemporain de Lyon, par ses dates, ainsi que la situation géographique de la Confluence, un nouveau quartier de Lyon, symbole du 21e siècle. Enfin, unique parce que la région (Rhône-Alpes et ses voisines) est riche en structures dédiées à l'art contemporain (musées, institutions artistiques et écoles d'art), ce qui a permis à DocksArtFair™ de prendre un rôle de premier plan sur la scène artistique contemporaine internationale.


STAND 33
49 quai Rambaud
69002 LYON
+33 (0)4 78 42 98 50
info@docksartfair.com


Horaires :
Mardi 13/09 et Mercredi 14/09
12H00 - 19h00 : Ouverture de la foire aux professionnels et aux VIP.
 Jeudi 15/09 et Vendredi 16/09
ouverture public de 15h00 à 19h00
Samedi 17/09 et Dimanche 18/09
ouverture public de 12h00 à 19h00



Vernissage le 14/09/2011, 19h - 22h




Du 18 au 25 juin 2011


AIN'PERTINENTES
Bourg-en-Bresse



Coq customisé par Nora Boudjemaï dans le cadre des Ain'Pertinentes, 2011


Bourg en Bresse et son Agglomération, le coeur de la Bresse bucolique, bocagère où batifolent en liberté des milliers de poulets aux pattes bleues, au plumage blanc et à la crête rouge, qui ne demandent qu’à rejoindre nos assiettes…..

LUMIERE sur --- > La BIENNALE D’ART POPULAIRE CITADIN, LES AIN’PERTINENTES.

Les volatiles s’installent en ville, dans les rues, sur les places, dans les mairies de l’Agglomération…

Une exposition publique et gratuite, l’art à la portée de tous.
Le poulet de Bresse revu et corrigé par des artistes français ou étrangers. 
Une manifestation culturelle et ludique empreinte d’originalité.
Des sculptures sur socle nous regardent malicieusement d’une hauteur de près de 2m et nous invitent à revisiter les lieux emblématiques du patrimoine historique, économique et culturel de la cité.

L’occasion de démontrer le dynamisme de la ville, de l’agglomération, du département.
La mise en valeur de l’esprit d’entreprise, la culture, l’industrie en alliant modernisme et tradition.

Souvenirs, souvenirs. 100 000 visiteurs rien que pour admirer ces merveilles. Les Burgiens ont versé une larme quand ils sont partis. Ils étaient beaux, fiers,colorés. Chacun racontait une histoire. Durant l’été 2009, la gastronomie et l'art contemporain se sont réunis pour donner naissance à la première Biennale d’Art Populaire Citadin de Bourg-en-Bresse. Forte de son succès, la biennale d’art populaire citadin revient en 2011.
Sculpteurs, peintres, couturiers, plasticiens et designers vont à nouveau relooker le fleuron bressan pour le transformer en sculptures géantes.

Selon un cahier des charges précis, chacun des protagonistes devra faire de notre poulet traditionnel une oeuvre contemporaine en utilisant différentes matières et matériaux.

Du 18 mars au 30 avril 2011


AUTOPSY 




Sans titre 2011
Technique mixte sur toile
100 x 120 cm
galerie caroline vachet
23 rue burdeau
69001 LYON
tel/fax: +33 (0)4 78 30 64 38
www.galeriecarolinevachet.com
infos@galeriecarolinevachet.com


Divers

performance galerie caroline vachet à la Cabane de Lyon from Flux Vidéo on Vimeo.




Musique : Dialect Music
Performance : Nora Boudjemaï

Des corps bruts et directs.
Des visages semblant s’interroger, ou pas : un mélange de souffrance, de douceur et de sensualité déconcertantes.
Des gestes comme des cris, Nora Boudjemaï frappe sa toile, combat la matière, jette sa palette en saisissant le monde en crise.
Son sujet prédominant : l’Humain – sous tous ses aspects qu’elle peint jusqu’au XXL.
Dans un état semblant incontrôlé où l’urgence domine, l’artiste pénètre le cœur de l’Autre ou le sien, assoiffé d’absolu, tiraillé entre certitude et doute, écartelé entre plénitude et vide, exalté entre chair et plaie.
Et la peinture coule, gicle puis s’épaissit dans un expressionisme profond : une peinture de l’intériorité, authentique et puissante.
Nora Boudjemaï, exprime avec énergie sa propre vision de l’instant présent, ses déchirements, ses revers, ses silences à travers  ces personnages isolés, stigmatisés ou en rupture.
Son travail nous transporte dans une émouvante et profonde dimension spirituelle, religieuse, voire mystique ; une unité iconographique pleine de ces rares harmonies qui enivre l’âme et l’entraîne vers la contemplation.
Dans un rapport paradoxal entre l’apparition et la disparition, la révolte et la paix, l’extase et la désillusion…
Nora Boudjemaï scrute et contemple l’âme humaine en pansant ses maux.
Galerie Caroline Vachet - Lyon Janvier  2009

Des visages, seuls, assemblés, superposés, déclinés.
Portrait de femmes, d’une femme… Autoportraits ? Rencontres durables ou de passages ?
Quête universelle, intemporelle, de tout artiste, au-delà de la fausse question de la « contemporanéité » et des techniques utilisées. On sent immédiatement chez NORA BOUDJEMAÏ la présence du trait : vif, en urgence, fin ou épais, donnant vie aux personnages.
Une vie qui passe derrière les regards clos : en amour, en souffrance ou, parfois, tout de douceur, de désir et de sensualité. Et la couleur qui gicle, coule en un expressionnisme déchiré ou qui, au contraire devient pastel. La femme, maghrébine ou non, exprime l’humaine condition. Et plus le trait s’épure, plus la toile se vide et plus elle convainc.


Stani Chaine, Critique d’art - Octobre 2006